Estelle Mouge

À la base, le jazz comme culture et quatre-vingt-huit touches. Plusieurs à la fois, pour la verticalité de l’écriture et de la composition. Ou bien à la suite, pour la continuité de l’improvisation. Ensuite, trente-sept touches. Une seule à la fois. Dans les graves, costumes et paillettes, avec Olga Bost. Dans les creux et les bosses, expérimentation sonore, avec Octave Machine. Écrire et jouer pour le mouvement, avec et pour les gestes de P É D I L U V E. Parfois encore, soixante-treize touches, pour crier ou pour chuchoter, harmonies souterraines et ksch-ksch. Une vieille machine qui réveille ses bras articulés pour raconter les poèmes surréalistes des Nombrils de Vénus.

@e.sstel
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