S’installant à son tour entre les murs de l’Atelier 17, Maxime Delhomme poursuit à sa manière le cycle de résidences « arts visuels » de la Friche Lamartine.

Artiste de terrain, il veut investir les espaces de création de la Friche Lamartine, ce microcosme.
Révéler des corps à l’intérieur d’un contexte.
“Intégrant des groupes, j’interroge la qualité de nos liens engendrant des interactions”. À travers le prisme des logiques collectives, il vise à questionner les conjonctures entre espace public et privé, pour interroger nos liens.
Cela, en deux temps : son intervention sera d’abord nourrie des rencontres, qui généreront des micro évènements performatifs. : comment sortir du cadre basique des présentations ? En dépassant le stade de la politesse ? Comment offrir d’avantage de soi ? Comment approfondir la relation à l’autre dans une contrainte de temps ?
Un deuxième temps d’atelier donnera lieu à une performance in-situ, à l’issue d’un travail d’équipe. On assiste ici à une vaste expérimentation : inverser nos manières de faire, intensifier la relation à l’autre par le langage du corps immergé dans un espace de peinture.

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